Irène Félix

Et voilà : il n'y aura pas de "coup de pouce" pour le SMIC au premier juillet. Pas de soutien aux revenus des salariés (on ne parle même plus des retraités), hausse de la TVA que l'on camoufle encore pour quelques semaines (ou quelques mois, tant qu'à faire, jusqu'aux municipales), mise en place de franchises pour les soins. Si on y ajoute les licenciements ou les embauches qui ne se feront pas en raison de la loi sur les heures supplémentaires, le pouvoir d'achat des ménages va dramatiquement chuter.
Il reste deux jours pour en parler autour de vous.