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19 juin 2007

44

44 % : sauf erreur, c'est inférieur à 50 % ! Donc j'ai perdu.
Cette circonscription est décidément très à droite et, dans une vague bleue, même tempérée dans les derniers jours, elle est imprenable. On attendra la vague rose !
En attendant, le score est honorable. Je regrette pour Yann Galut les quelques centaines de voix manquées et je félicite Jean-Claude Sandrier. Pour le pays, je me réjouis que l'opposition soit significativement représentée. il va y en avoir besoin pour analyser et démasquer tous les projets.
Bravo et merci aux "sages", en l'occurence à Laurent Fabius, d'avoir su faire avouer à la droite son projet d'augmentation de TVA.
Et si on avait besoin des sages ?

Commentaires

44% c'est bien au pays des vignobles. C'est même très bien quand le PS n'avait pu porter ses couleurs depuis 10 ans. C'est surtout prometteur d'avenir quand sur trois cantons de Bourges le candidate de la gauche unie, réunie sur son nom 48.59%. C'est quand même symbolique de faire un tel scorre sur trois anciens cantons de droite.Et puis c'est bien aussi de savoir raison garder avant de s'interposer sur d' hypothétiques lendemains qui souvent déchantent. C'est raisonable de retrouver avec vigueur son poste de vice-présidente du conseil général. C'est mieux que demain j'y serai. C'est trés bien d'être restée positionnée aux municipales de Bourges. C'est mieux que certaines démissions passées. Bravo Irène c'était un beau combat. Tu as servi ton parti sans te servir de lui et cette position t'honore. A bientôt pour d'autres combats.

Écrit par : marcel | 19 juin 2007

Tant mieux si cette sortie a permis un reéquilibrage. Mais le problème de l'unicité de l'assiette de la solidarité nationale reste toujours pendant. Et cette assiette, le travail dans une grande proportion, pèse sur l'activité économique et sur la vie de nombreux français.
Comment y remédier ?
Car on a beau tourner dans tous les sens le problème, les consommateurs payent déjà 100% des charges sociales supportées par les produits réalisés en France. Donc arrêtons la langue de bois et faisons preuve de pédagogie. Où préférons nous accelerer la mort de l'activité salariale ? Pour la remplacer par quoi ? Je reconnais que c'est une piste qui n'a jamais été explorée... ;-))

Écrit par : egdltp | 19 juin 2007

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