Irène Félix

ah ma pauvre Iréne! Ne te désole pas! Quand j'était étudiant à l'école d'électricité et mécanique de Paris, notre promotion de 120 étudiants comportait deux filles ! le professeur de Math etait matcho, j'ai vu une fille torturée devant l'amphi parceque elle ne se souvenait plus de la régle de l'hospital, le supplice à durer bien cinq minutes malgré les pleurs de la malheureuse. Ma fille à subit bien des malheurs du à sa condition de fille, dernierement elle à été tres gravement reprimendée à tord car le CPE lui a posé des question tres indiscrete sur son état de santé mental, cela a reveillé des souvenirs trés douloureux. Elle fait une dépréssion. Pourtant s'était inscrit dans son dossier scolaire puisque l'éducation nationale à porter plainte à la gendarmerie. Elle continura sa scolarité par correspondance. En effet, il existe des hommes sans tact, qui n'ont même pas le courage de s'excuser, quand ils font des grossiéres erreurs...

Écrit par : jacques NOYER | 05 mars 2011

Oui, je suis bien d'accord. C'est dramatiquement bas, le mot est juste. Pour moi, il montre l'immense décalage entre "le pouvoir politique" et la réalité de la société. Certes il y a plus de femmes à s'engager, mais il y a je pense toute une façon de concevoir l'engagement et la prise de responsabilité, dont les femmes -et pas seulement elles- se sentent loin et n'ont pas envie de l'exercer de cette façon là. Et là on entend souvent dire "oui, moi je suis d'accord qu'elles prennent des responsabilités, mais on en trouve pas !" Et comment on en trouve pas ? Justement parce que je pense que la plupart d'entre elle n'ont pas envie de faire de la même façon, et qu'elles ont bien souvent 4 vies en même temsps : leur vie professionnelle, leur vie d'épouse, leur vie familiale et leur vie d'amante. 4 en 1, ca fait beaucoup ! mais ce sont tous ces temps de vie qui sont importants, et elles y tiennent pour des questions d'équilibre. ! Et puis la réalité des femmes reste celle-ci : 17 h de plus de tâches ménagères (par semaine, de mémoire) que les hommes (même si cela progresse dans les jeunes générations), la précarité au boulot (temps décalés - temps précaires), des salaires 30 % en dessous, moins de responsabilité et quand elles en ont, il faut prouver 10 fois plus..., 1 femme qui meurt sous les coups de son conjoint tous les 3 jours... Le constat est connu. Reste que les hommes ne veulent pas cèder la place... et que si les femmes ne s'en mêlent pas, cela ne changera pas. Je crois à un combat mixte sur cette question, mais les femmes doivent s'en mêler, c'est nécessaire, indispensable. Et sincèrement, je regrette que le Conseil général du Cher ne se soit pas mieux emparer de ce combat, avec des choses simples. J'espère que la prochaine majorité s'empare avec énergie de cette question, car elle touche à des changements de comportement, donc c'est long donc il y a besoin de la mobilsatioin de tous. Et à partir de cette question, c'est toute l'organisation de la société dont il est question. Alors effectivement une journée c'est bien peu de choses, mais cela sonne à chaque fois comme un rappel cinglant des réalités. Alors quelles initiatives signifiantes et durables prendre pour commencer à rassembler celles qui veulent sensibiliser ? Le débat est lancé...

Écrit par : armelle tanvez | 08 mars 2011

Si il y a des femmes qui veulent s'engager mais elles dérangent depuis 1968 j'ai presque été toujours candidate mais toujours dans des endroits où c'était sans espoir d'élection !!! ^par contre distribuer des tracts coller des affiches etc là j'étais en premiére ligne et souvent devant le candidat ??? et depuis que je suis dans cette région ne m'en parlé pas :il n'ya pas de "problème" !!!

Écrit par : Paule | 14 mars 2011