Irène Félix

J'ai passé la semaine dernière à aller en soutien à mes camarades aux quatre coins du département : lundi à Bengy avec Pascal Méreau ; mardi à La Borne avec Jean-François Turpault ; jeudi à Vierzon avec Jill Gaucher ; vendredi à Saint-Florent avec Jacques Lambert-Legras puis à Orval avec Clément Bernard.

Que retenir ? Un mot : la générosité. Celle de nos valeurs qui se traduisent dans le programme que nous avons présenté. Celle de l'engagement de tous les candidats socialistes dans cette campagne.

Je martèle un message : nous devons lutter contre l'abstention en mobilisant militants et sympathisants. La droite n'a aucun intérêt à ce que les Français sachent qu'il y a des élections. D'ailleurs d'actualité internationale, dont je ne sous-estime pas la gravité, lui donne une extraordinaire façon de ne pas dire un mot des départements. Rien ce soir, par exemple, sur France 2, alors que partout en France, les candidats ont dû arpenter les marchés, les matchs de foot et les cages d'escalier pour porter leurs programmes.

Face au pouvoir de la droite, face au pouvoir de l'argent et face à la facilité des discours populistes, nous n'avons qu'une arme : notre militantisme. Que chacun se le dise à gauche.

Bon courage aux socialistes pour la dernière ligne droite.