12 mars 2007
Combattre
Les derniers sondages révèlent à nouveau le risque de voir la gauche absente du deuxième tour de la présidentielle. Nous n'en sommes pas là mais il serait absurde de se voiler la face. Il est donc nécessaire de revenir à la charge, de faire valoir notre projet, de souligner le clivage entre la droite et la gauche. La gauche ne gagnera pas sur la confusion mais dans la clarté. Là-dessus, j'ai une position constante qui m'a d'ailleurs conduite à brocarder, il y a quelques années, le "proximisme" et la "bonne gouvernance" de JP Raffarin, eau tiède propre à noyer le débat démocratique dans le débat technocratique et le consensus mou local, au bénéfice du pouvoir économique et financier.
Je vous invite à lire à ce sujet un article de Laurent Fabius paru dans le Parisien.
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