Irène Félix

Le 1er mai à Charlety, mais aussi localement à Bourges au val d'Auron en présence de Michel SAPIN et de Alain RAFESTHAIN, toutes les forces de gauche ont démontré leur implication dans le soutien à notre candidate socialiste, Ségolène ROYAL, afin de faire barrage à cette droite arrogante et brutale qu'incarne Nicolas SARKOZY.
Là est bien l'urgence, à trois jours du scrutin.
Il sera bien temps ensuite, pour ceux qui le souhaitent, et je n'en fais pas partie, de fonder autant de partis qu'il leur semblera bon.
Battons-nous jusqu'au bout, et avec toutes nos forces !
Amitiés socialistes,
Anne-Marie Guillonneau

Écrit par : anne-marie guillonneau | 03 mai 2007

A Anne-Marie Guillonneau.
Vous parlez d'arrogance et de brutalité de la part de Sarkosy. Dans le face à face qui a perdu son calme qui s'est énervé qui a pointé son doigt sur l'autre ?
Les Français me semble-t-il n'ont pas vu le même face à face et je vous invite pour cela à regarder les derniers sondages de ce jour . Ils vont de 53-47 à 54,5-45,5 en faveur de Nicolas Sarkosy.
Autre sondage pour le plus convaicant 53% pour Sarkosy et 31% pour Ségolène Royal et 16% sans opinion.

Écrit par : nano718 | 04 mai 2007

Bien sur qu'il faut refonder, bien sur qu'il faut un cadre pour faire exister une gauche de conviction, bien sur que l'économie de marché fait partie des réalités du 21 ème siècle. De la même façon, l'Europe sociale est un combat.
Il faut donc s'entendre surla mise en musique de tout cela. Le renforcement de l'expression citoyenne,de la participation aux affaires de la cité est également à mon sens un des objectifs d'une gauche moderne. Nous sommes à l'heure du dépassement de certains clivages. La France peut faire exister sur sa gauche un véritable modèle français,Laïc, humaniste et solidaire... Avec je l'espère Ségolène présidente, passons aux actes !!

Écrit par : Pascal Goudy | 04 mai 2007

En réponse à nano718
Le doigt pointé de Ségolène ROYAL, quelle violence en effet ... Mais je veux la comparer, pêle-mêle, avec les envies de karchériser, avec la promesse de limiter le droit de grève, avec la promesse de mettre en cause le code du travail, avec la promesse de "franchiser" l'accès aux soins, avec la promesse de supprimer 5000 postes d'enseignants à la rentrée, et ce n'est qu'un début, de l'autre candidat.
La liste n'est pas exhaustive ...
Pauvre candidat sur lequel un doigt a été pointé, c'est sûrement plus grave que quand une candidate est accusée d'être du côté des contrevenants ...
Au moins, nous ne pourrons pas dire que nous ne savions pas, les promesses du candidat de la droite sont claires, et elles sonnent pour moi comme des menaces ...
Anne-Marie Guillonneau

Écrit par : anne-marie guillonneau | 05 mai 2007