07 avril 2010
Chancellerie : des violences qui rendent amers
Je suis allée ce matin faire un tour au marché de la Chancellerie. Je considère comme la moindre des politesses, après des élections, que de retourner saluer les électeurs. Beaucoup de monde, d'interpellations sympathiques.
A plusieurs reprises, les gens commentent une série de dégradations faites ce week end sur des véhicules d'une part, et sur des bâtiments paroissiaux d'autre part. Une de ces vagues de violence inutile et aveugle qui blesse des gens qui vivent ici et ne demandent qu'à avoir une voiture pour pouvoir aller travailler. On sent l'amertume. Elle est largement compréhensible. Quelles mesures sinon une présence beaucoup plus construite d'adultes dans les espaces publics ?
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